Il y a de nouveau de l'espoir à Sarajevo

Une image vaut mille mots, les images parlent d’elles-mêmes et ne nécessitent aucune explication. Les signaux graphiques de Fritz Behrendt en témoignent. Il n’est pas surprenant qu’il se sente impliqué dans les événements de l’ex-Yougoslavie. Il connaît le pays, parle la langue et se sent connecté aux gens. Behrendt s'est toujours montré un opposant impartial à ce qu'il considère comme des «ismes», qu'ils viennent de gauche ou de droite. Presque tous les signaux graphiques, dessinés avec cœur et âme, en témoignent.